« C’est le coup d’Etat, il fallait vous mettre hors circuit c’est tout. » Les images choc, tournées en caméra cachée, montrent la juge d’instruction Leila AYOMBO MOUSSA en pleine conversation avec Noureddin BONGO et son avocate. 💣 Une vidéo explosive qui fait l’effet d’une bombe ce week-end sur les réseaux sociaux 👉 On l’entend admettre agir sous les ordres directs des militaires du président Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, qu’elle doit les condamner qu’elle n’a pas le choix. On apprend également ce que l’on savait déjà et qui apparaît désormais au grand jour : • Les soi-disant preuves de corruption étaient une mise en scène montée sous la menace d’armes à feu ; • Sylvia BONGO ONDIMBA et son fils Noureddin BONGO VALENTIN ont été torturés pour leur extorquer des aveux et la signature de cessions de leurs biens personnels. @internationalcriminalcourt, derrière le rideau, le CTRI a bel et bien orchestré une opération de manipulation, d’intimidation et de propagande pour maquiller un coup d’État déguisé. Mais aujourd’hui, la vérité éclate au grand jour. Et à en croire les récentes prises de parole de @SylviaBongo et @NoureddinBV… 🔥 Ce n’est que le début.

Retour sur les commentaires des avocats de la famille Bongo (Me Catalina de la Sota, Me Pierre-Oliver Sur et Me François Zimeray) après leur unique parloir avocat avec Sylvia et Noureddin Bongo le 19 Décembre 2024 après 17 mois de détention arbitraire au Gabon, en particulier sur leur état de santé alarmant et les tortures.

Retour sur les commentaires des avocats de la famille Bongo (Me Catalina de la Sota, Me Pierre-Oliver Sur et Me François Zimeray) après leur unique parloir avocat avec Sylvia et Noureddin Bongo le 19 Décembre 2024 après 17 mois de détention arbitraire au Gabon, en particulier sur la spoliation illimitée des biens de la famille Bongo en dehors de tout cadre légal et sous la torture.

Retour sur les commentaires des avocats de la famille Bongo (Me Catalina de la Sota, Me Pierre-Oliver Sur et Me François Zimeray) sur leur visite au Président Ali Bongo Ondimba, privé de sa liberté depuis le coup d'état du 30 août 2023, malgré les annonces mensongères des autorités gabonaises le déclarant libre de ses mouvements.

Le 27 Octobre 2024, les avocats de la famille Bongo au Gabon ont tenu une conférence de presse pour dénoncer les graves violations des droits fondamentaux de Sylvia et Noureddin Bongo, détenus arbitrairement, accusés de crimes qu'ils n'ont pas commis, sans aucune preuve dans leur dossier d'instruction et dont la détention préventive est sans cesse renouvelée sans débat judiciaire. Ils dénoncent une prise d'otage maquillée par une mascarade de justice, elle-même pilotée par les pouvoirs publics, ainsi que la manipulation médiatique mensongère visant à condamner Noureddin Bongo aux yeux de l'opinion publique. Il dénonce également et demande leur libération immédiate. Sylvia et Noureddin Bongo sont les garanties humaines du coup d'état et n'ont aucune perspective de procès juste et équitable.

Le 19 Décembre 2024, après 17 mois de détention arbitraire aggravée de tortures, les avocats des Droits de l'Homme de la famille Bongo (Me Catalina de la Sota, Me Pierre-Olivier Sur et Me François Zimeray) ont enfin pu rendre visite à Sylvia et Noureddin Bongo à Libreville. Le 20 Décembre 2024, le Procureur de la République Gabonaise a fait une déclaration mensongère sur la chaîne nationale gabonaise annonçant que cette visite s'était déroulée dans le respect des droits de la défense et de la confidentialité des échanges entre avocats et clients, ainsi que les avocats auraient constaté que Sylvia et Noureddin Bongo n'avaient pas été torturés. Il n'en est rien. Le 09 Janvier 2025, les avocats ont tenu une conférence de presse pour rétablir la vérité sur cet unique parloir avocat, sur l'état de santé alarmant et les conditions inhumaines de détention de Sylvia et Noureddin Bongo.

Retour sur les commentaires de Me Charles Anicet Poaty-Amar, avocat de la famille Bongo, sur le cas judiciaire de Sylvia et Noureddin Bongo compte tenu des circonstances du coup d'état du 30 août 2023. Me Charles Anicet Poaty-Amar dénonce la prise en otage de Sylvia et Noureddin Bongo, garanties humaines du coup d'état, ainsi que la manipulation médiatique mensongère visant à condamner Noureddin Bongo aux yeux de l'opinion publique. Il dénonce également l'impossibilité d'un procès juste et équitable.

Retour sur les commentaires de Me Gisèle Eyue Bekale, avocate gabonaise de la famille Bongo, sur le cas judiciaire de Sylvia et Noureddin Bongo accusés de crimes qu'ils n'ont pas commis, sans aucune preuve dans leur dossier d'instruction, en violation de leurs droits fondamentaux et dont la détention préventive est sans cesse renouvelée sans débat judiciaire. Me Gisèle Eyue Bekale dénonce une prise d'otage maquillée par une mascarade de justice, elle-même pilotée par les pouvoirs publics, et demande leur libération immédiate.